J'ai commencé mon apprentissage avec les autres bénévoles, en restaurant les murs de pierres plates sur l'aire d'accueil autour du dragon. Cela devait être en 2003.

Passionné par ce travail de puzzle, je finis de rehausser le mur derrière  l'abri initiale ou nous mangions et qui servait de bar avant la "guinguette". Maintenant surtout utiliser comme réserve.

C'est aux côtés de Paora en 2013 que les choses sérieuses commencèrent. L'année ou il finit sa gigantesque et magnifique œuvre je mettais fin au mur en arc de cercle qui relie de "L'abime à l'Azur" à "Passe le temps". Ce fut un plaisir immense de travailler chaque jour à côté de cet homme généreux qui chaque matin vénérait la pierre qu'il allait travailler.

En 2018, à la demande d'Alain Tenenbaum, inventeur du site, je réalisais mon troisième mur dans le ventre du monde. Pour une fois à  l'ombre.

La performance consiste à mettre les pierres les unes après les autres (tout venant) sans faire de tri de forme ou de taille au préalable. Comme dans le conte "Jean des Pierres" les pierres me parlent.

Pour cette séparation, je trouvais principalement les pierres au pied d'un front de taille non exploité.

Qui pourrait devenir un nouveau front de taille dans quelques années si la pierre le permet

L'exploitation de cette mine a été continuée pour retenir les éboulements des deux côtés de la fresque d'Alain Vandenbrouk

Limitation des éboulements au pied de la sculpture du géant d'Alain Dony.

En avril, à l'initiative d'Adrien Guillot Coordonnateurs pour l'association des Lapidiales, j'ai animé deux ateliers d'une ouvert au jeunes de la CDC. Ils se ont s'initier à la magie des pierres comme dans le conte de Jean des pierres. Ils ont renforcé avec une belle énergie le mur de soutien a la gauche de la fresque d'Alain Vandenbrouck, et des murets sur la zone d'accueil.

Des pierres de mon jardin et de celle du vieux bassin de mon voisin est né un serpent qui veille sur mon potager. La contrainte est d'utiliser les pierres comme elles viennent et sans les modifier